Coucou !

Il y a quelque temps, je vous avais présenté un salon de thé à Lyon, A chacun sa Tasse : l'article est ici, si vous l'avez loupé.

Aujourd'hui je reviens vous présenter un salon de thé, mais non pas pour le goûter : nous y sommes allés, Monsieur Chéri et moi-même, pour un brunch romantique à souhait.

Le Café J'adore, c'est d'abord une promenade dans les quartiers de la Croix-Rousse, à la sortie du métro Croix-Paquet. Quand on arrive (en ayant réservé une demi heure avant), on s'installe tranquillement dans les fauteuils douillets avec vue sur la Grande Pente, et la serveuse vient nous expliquer le menu.

Au Café J'adore, on commence par un grand jus de fruits artisanal, suivi ce jour-là de pancakes au sirop d'érable. Il faut savoir que toutes les semaines, le brunch, proposé le samedi et le dimanche, suit un thème autour du monde ; ce jour-là, nous avons voyagé entre les Etats-Unis et le Mexique.

Ensuite, nous avons choisi notre boisson chaude : café ou thé renommé, ou chocolat viennois. Nous avons fait les gourmands en demandant le maxi format, et on s'est aperçus que vraiment, ce n'était pas nécessaire... Mais on a tout fini quand même !

Ensuite sont arrivés nos bagels au guacamole et au bacon, accompagnés de nachos.

Pour finir, nous avons eu le choix entre deux parfums de glace artisanale, qui changent toutes les semaines.

La phrase "Mais ce truc, c'est une tuerie" est revenue à chaque nouveau plat sur la table, tellement nous étions ravis ; on sentait que les produits étaient faits maison et frais. En plus, il faut noter que ce brunch est quand même l'un des moins chers de Lyon, il a décidément tout pour nous séduire !

Note : Il me semblait avoir vu une photo des bagels, mais impossible de la retrouver...

Salut !

Voilà une recette que j'adorais petite. Miam, les crumbles aux pommes de ma Môman, avec le filet de crème fraîche sur le dessert qui sortait du four !

Ca faisait quelques temps que je n'en avais pas fait. Monsieur Chéri ne connaissait pas, donc je me suis décidée à en faire un.

C'est parti !

Ingrédients

5 pommes (j'ai pris des golden un peu au pif, mais c'était très bon)

50g de poudre d'amandes

150g de farine

200g de sucre

100g de beurre

Cannelle

1s sucre vanillé

Préparation

Sortez si possible le beurre à l'avance pour le laisser ramollir.

Pelez puis coupez les pommes en dés. Mettez-les dans un plat à gratin.

Préchauffez le four à 200°C.

Dans un saladier, mélangez tous les ingrédients secs. Si le beurre n'est pas assez mou, passez le 10s à puissance minimale au micro-ondes, ça devrait suffire.

Incorporez le en petits morceaux dans le saladier.

Pétrissez à la main pour former des miettes de pâte.

Disposez généreusement les miettes sur les pommes.

Enfournez 30 minutes, le dessus de la pâte doit être joliment doré.

Coucou les amis !

Aujourd'hui je vous propose une recette très rapide et facile à réaliser, qui a l'avantage d'être faite avec des ingrédients que l'on a presque toujours dans ses placards !

J'ai modifié très légérement la recette trouvée sur la Cuisine de Gut, ici. La recette est plus légère qu'on pourrait le croire, et assez équilibrée avec la tomate, et j'y ai rajouté des champignons.

Si vous servez la tresse en entrée, elle sera parfaite pour 4 personnes ; si vous la servez en plat, pour 2 personnes.

Ingrédients

1 pâte feuilletée

4 tranches de jammbon de poulet

1 boîte de tomates pelées en dés (390g)

1 boîte de champignons émincés (200g)

1 tomate

1 boule de mozzarelle

Préparation

Commencez par couper la mozza bien égouttée en tranches assez fines, et la tomate en petits dés.

Etalez la pâte feuilletée sur une plaque allant au four, préchauffez ce dernier à 200°C.

Au centre de la pâte feuilletée, étalez les tomates pelées. Par-dessus, disposez les tranches de jambon (c'est normal qu'elles se superposent).

Ajoutez la tomate en dés et les champignons, puis les tranches de mozzarelle.

Sur les côtés de la pâte, découpez des lanières au couteau. Refermez la pâte, comme pour obtenir un rouleau, en fermant une lanière de chaque côté et en alternant.

Enfournez 30 minutes. Vous pouvez manger la tresse avec une salade.

Salut tout le monde !

Aujourd'hui, un article plus culturel. J'ai eu la chance de rencontrer le chorégraphe Olivier Dubois, qui a notamment chorégraphié le spectacle Tragédie. Si vous ne savez pas de quoi ça parle, je vais avoir l'occasion de l'évoquer plus bas ; mais sachez cependant qu'il y a eu une polémique sur ce spectacle, dans lequel les 18 danseurs dansaient, nus.

Note : Je pense axer cet article plus sur ce que nous a appris Olivier, ses motivations et ses réflexions en tant qu'artistes, plutôt que sur la technique. Donc même si vous ne connaissez rien à la danse, vous pouvez lire quand même !

Le spectacle

Alors, je dois tout d'abord vous avouer que je n'étais pas enthousiaste à l'idée d'aller voir 18 personnes se trémoussant à poil sur la scène de la Maison de la Danse de Lyon. -Notez que je vous simplifie le contexte qui m'a amenée à aller voir ce chorégraphe, c'est avec l'école, mais c'est un peu particulier, toussa, toussa.

Bref. Nous avons eu toute une semaine axée sur ce chorégraphe. Le premier soir, nous avons rencontré une de ses danseuses, Carole, pour un atelier MasterClass autour du spectacle Tragédie. Je n'en ai été que spectatrice, à cause d'un reste de tendinite, mais mes camarades ont eu l'occasion de travailler sur les passages les plus simples et marquants du spectacle. Et surtout, nous avons pu poser nos questions sur ce qui avait poussé Carole à se mettre à nu pour ce spectacle. Le deuxième soir, nous avons rencontré Olivier Dubois, un personnage très accueillant, sympathique et accessible. Le dernier soir, nous avons assisté au spectacle.

La motivation des danseurs

Tout d'abord, Carole nous a expliqué que non, elle n'était absolument pas exhib'. Le chorégraphe, Olivier Dubois, n'a pas prévenu les danseurs avant l'audition quant à cette particularité. Il a du auditionner énormément de monde, en plusieurs étapes ; et ce n'est que pour la dernière étape qu'il a annoncé que les danseurs seraient nus sur scène durant le spectacle.

Pour cette dernière étape, à laquelle il n'a bien entendu forcé personne, il a auditionné séparément hommes et femmes. Carole nous a raconté que tous les danseurs faisaient vraiment confiance à Olivier, qu'il n'y avait rien de sexuel dans les regards portés sur leurs corps. La nudité, c'était leur costume pour ce spectacle.

Lors de la rencontre avec Olivier, nous n'avons pas pu nous empêcher de lui demander : pourquoi les mettre nu sur scène ? Il nous a très simplement répondu qu'il avait réfléchi à tous les costumes possibles, et qu'au final pour lui, la seule possibilité était la nudité. Pour l'anecdote, quand Olivier Dubois a commencé à danser ses premières pièces, il s'est très souvent retrouvé nu sur scène. Mais il ne sait pas si cela l'a influencé dans son choix pour Tragédie.

Un aspect scientifique

En fait, Olivier nous a expliqué que quand il réfléchissait à une création, il écrivait de suite la partition, pour chacun des danseurs. Il donne un aspect mathématique à ses spectacles. Une partition est composée pour lui de plusieurs mouvements, que l'on répète un certain nombre de fois. Par exemple, "Pingouin *54" signifie que le danseur fera 54 fois le mouvement Pingouin.

Autant le nom du mouvement est particulièrement farfelu, autant le nombre que j'y ai associé ne l'est pas tant que ça. En effet, Olivier nous a expliqué qu'il voyait des "affinités" dans certains nombres, qu'il en préférait certains à d'autres (d'où les 9 danseurs et 9 danseuses de Tragédie). Il n'hésite pas à faire répéter un mouvement un nombre incalculable de fois aux danseurs durant le spectacle, en changeant un détail au milieu puis en reprenant le mouvement. Il amène le spectateur à se demander si ils ont rêvé ce détail, ou non.

Les pièces d'Olivier Dubois sont très physiques, et il est ardu pour les danseurs de retenir des partitions aussi longues et mathématiques.

Ce que j'en ai pensé

J'ai dit au début de cet article que je n'évoquerai pas l'aspect technique, dansé de ce spectacle. Mais je peux vous assurer que la rencontre avec Olivier Dubois m'a marquée. Sans comprendre ses motivations, j'aurai sûrement eu plus de mal à voir le spectacle.

Au début du spectacle, même préparés, c'était quand même étrange de voir tous ces gens nus sur scène, même si les corps étaient dévoilés progressivement à la lumière. Evidemment, nous sommes humains : les regards s'attardent sur les corps, leurs défauts, et -il faut bien le reconnaître, leurs qualités. Mais au bout d'un moment, le rythme et les mouvements nous emportent, et c'est au final presque naturel, de voir ces danseurs nus sur la scène. Pour moi, c'était une expérience à vivre ; je ne l'aurai pas fait on m'avait dit, au début de l'année : "Allez viens, y a un spectacle où il sont tous tous nus, viens on va voir ça". J'aurai pris mon interlocuteur pour un fou ! Et pourtant. Je ne vous donnerai pas mon avis sur le spectacle, mais je suis contente en tout cas, d'avoir découvert le travail de ce chorégraphe, sa manière de penser et de bousculer le spectateur.

Pour plus d'infos sur le travail d'Olivier Dubois :

http://www.olivierdubois.org/

http://www.cccdanse.com/on-aime/tragedie-olivier-dubois/  : Une critique du spectacle

Les beaux jours reviennent peu à peu, et le soleil brille de plus en plus. Avec ceci, une pincée de chaleur nous envahit, et, tout doucement, on commence à avoir envie de sortir le bout du nez de l'écharpe, et pourquoi pas, de boire un bon milkshake sur le balcon.

Voilà donc une recette de milkshake au Bailey's, et à la vanille. Pour info, le Bailey's est une liqueur irlandaise à base de crème et de whiskey, créée il y a 40 ans à Dublin.

Ingrédients

2 boules de glace à la vanille

20 cl de lait

5 cl de Bailey's (à consommer avec modération)

Préparation

Mixer les ingrédients ensemble et servir dans un grand verre. Tout ce qu'il y a de plus facile !

Coucou les loulous !

Dans la lignée de mon My 365, voilà les dernières photos que j'ai prises... Il n'y en a malheureusement que deux, car mon appareil m'a lâché (le zoom est bloqué en position maximale). Je ne sais pas comment je vais illustrer la suite des articles du blog !!!

Jour 15 : Lyon au petit matin, avant les heures de conduite

Jour 16 : Bientôt le retour du printemps ? Le soleil est de retour...

Coucou !

Voilà une recette originale et qui dépanne lorsque l'on n'a plus ni oeufs, ni beurre chez soi !

Ingrédients

1 mug de flocons d'avoine

1 mug de farine

1 mug de sucre

3/4 mugs de lait

2cs de fleur d'oranger

50g de raisins secs

1s de levure

Préparation

Préchauffer le four à 200°C.

Mélanger tous les ingrédients et verser dans des petits moules à muffins.

Enfournez 25 minutes et démoulez dès la sortie du four pour laisser refroidir.

C'est prêt ! J'aime bien leur aspect un peu caramélisé à l'extérieur...